Poem
“Le président de la Société des amis du Louvre sur la sellette”
Sous la lumière des maîtres, il trône si haut,
Le président, gardien de la beauté des tableaux.
Mais voilà que les vents de discorde soufflent,
Et sur la sellette, il se désole et se croule.
La Société des amis du Louvre est son univers,
Il l’a vue naître et grandir, cette passion sincère.
Mais la rumeur court, les doutes se glissent,
Et l’amour des œuvres se ternit, se fissure.
Les critiques fusent, la confiance s’estompe,
Et l’on questionne les choix, les compromis de sa pompe.
Les dons généreux d’autrefois sont envolés,
Remplacés par des soupçons, par une ombre mal-aimée.
Il se défend, tente de balayer les calomnies,
Mais les murmures perdurent, mettant à mal sa vie.
Le Louvre, son temple, la passion de toute une vie,
Mais devant cette mise en doute, elle se flétrit.
Alors, il doute, tourmenté par les regards acerbes,
Regrettant chaque décision qui dégrade sa verve.
La Société des amis du Louvre est son échappatoire,
Mais elle lui échappe, cette douceur salvatrice.
Le président de la Société des amis du Louvre,
Porte le fardeau de la suspicion qui l’accouple.
Mais l’amour du beau, ce feu ardent dans son cœur,
Lui rappelle qu’il est plus grand que ces rumeurs.
Mots-clés : président, Société des amis du Louvre, sellette, discorde, doutes, passion sincere